• Bien s’alimenter pour randonner 

La nourriture est un aspect crucial lors d’une sortie sur une journée ou sur plusieurs jours. L’effort déployé par la marche nécessite en effet une alimentation plus riche qu’au repos. Pour tenir sur la durée, le randonneur doit donc s’alimenter régulièrement avec des aliments adaptés à ses besoins. Ceux-ci varient en fonction de la durée et du type de parcours à effectuer. La règle d’or des aliments en itinérance est : légers, petits et nutritifs. 

Pour en savoir plus voir le document : Bien s’alimenter avant, pendant et après une randonnée.

• Bien s’hydrater en randonnée

Il est important de penser à s’hydrater régulièrement au cours d’un effort. Tout défaut d’hydratation est susceptible de favoriser la survenue de symptômes tels que fatigue, crampes, tendinites, maux de tête, stress, insomnie. Pour en savoir plus voir le document : Bien s’hydrater avant, pendant et après une randonnée.

• Bien s’équiper pour marcher 

Activité accessible, la randonnée requiert toutefois une certaine condition physique, surtout sur des itinéraires difficiles ou longs. Elle suppose également un minimum d’équipement et de préparation. Le confort de la marche et la sécurité des personnes dépendront en grande partie de la qualité et la pertinence du choix du matériel en fonction du type de randonnée projetée. Pour s’équiper, le choix est difficile, tant l’offre est abondante, technique et segmentée. Les critères de sélection du matériel reposent en partie sur le type de randonnée pratiquée. 

• Respecter la charte du randonneur 

Le randonneur doit être attentif aux bonnes pratiques visant à la préservation de l’environnement et au respect de la biodiversité . Elles sont rappelées dans la Charte du randonneur éditée par la FFRandonnée. 

Pour en savoir plus, voir la page charte du randonneur

• Passer une nuit en pleine nature 

On appelle bivouaquer le fait de rester camper une seule nuit dans un endroit avant d’en repartir le lendemain matin. Contrairement au camping sauvage, le bivouac est autorisé partout où il n’est pas interdit. La législation française impose toutefois certaines restrictions à connaître

• Avoir une trousse de secours individuelle 

Glissée dans le sac à dos, la trousse de secours est là pour faire face aux petits pépins du quotidien de la marche. Elle peut aussi aider à protéger le malade ou le blessé plus grave en attendant les secours. Tout randonneur devrait avoir sa propre trousse de secours. 

En cas de maladie nécessitant un traitement, le participant concerné doit également être en possession d’une trousse dédiée, rangée dans un endroit facilement accessible de son sac (connu de l’entourage), contenant une fiche de renseignement médicaux, les médicaments qu’il est susceptible d’utiliser en cas de situation d’urgence et la prescription médicale correspondante. 

Bien entendu, tout randonneur doit toujours avoir sur lui ses papiers d’identité et de sécurité sociale. 

• Comprendre la météo 

Les conditions météorologiques constituent l’une des principales composantes de la pratique de la randonnée. Elles influencent grandement sa réussite. Si la météorologie est l’une des sciences les plus complexes qui soient, en connaître des principes de base est aisé et très utile. Comprendre les phénomènes météorologiques permet au randonneur de prévoir de partir au bon moment, ou de renoncer avec raison… 

• Savoir lire les cartes topographiques 

Les cartes topographiques sont disponibles en différentes échelles selon le niveau de précision exigé par la randonnée. Pour ceux qui ont des hésitations devant une carte dépliée, il est conseillé de suivre une des formations « Pratiquer » (Découvrir ou perfectionner les pratiques) proposées par la FFRandonnée. 

• Organiser une randonnée

Pour partir l’esprit tranquille, il faut organiser aussi minutieusement que possible son séjour. une bonne organisation est d’autant plus importante que la randonnée dure plusieurs jours. Il est utile de se poser les bonnes questions avant le départ. Élément essentiel de la randonnée au long cours, la question de l’hébergement doit se poser dès que l’itinéraire est fixé. Dans la plupart des cas, il est préférable de réserver sin hébergement plusieurs mois à l’avance…

Pour en savoir plus, consulter le Mémento Fédéral « Pratiquer-encadrer-organiser »